Précédente parution:
LES LUMIÉRES DU PORT DE GRANVILLE
Déjà un roman à l'écriture enlevée, (plus insolent que LE PARFUM DES GOYAVES) dans un esprit vaguement provocateur, qui allait à la fois avec l'histoire et la jeunesse particulière des deux personnages principaux.L'action devait se tenir dans une région qui m'est chère - celle de mon enfance - et elle me permettait d'y inscrire un roman rude dont les protagonistes se croisent, s'entrechoquent, se défient sans se l'avouer, afin de lutter contre les difficultés d'une vie qui s'est chargée de leur apprendre la douleur. Mais rien de sinistre, cependant, l'ironie, la dérision l'emportent toujours et donnent une couleur et une émotion particulières à un monde où souffle avant tout un désir de vivre inextinguible.
De quoi vous rassasier de situations étonnantes, comme de moments terribles et surtout d'un épilogue inattendu.
Soyez heureux de lire. G.M..
L'HOMME AU FOND DU COULOIR
Voici un nouveau roman fort différent des précédents. Je m'y suis très impliquée et je l'avais en gestation depuis plusieurs années. Il fallait un élément déclencheur et la vie me l'a offert juste à propos. J'ai rencontré « la Louvigny »…
Cette histoire est donc une chronique des vibrations d'un monde clos ordinaire, où s'invitent les petits coups fourrés communément répandus dans bon nombre de familles, ceux qui se cachent derrière des sourires de convenance, et des actes prétendument altruistes. On croit tous pouvoir échapper au sordide et à la médiocrité qui poussent certains membres de l'entourage à se laisser aller à des actes peu glorieux. Comme je le répète souvent : que nenni !...
Ceci dit, beaucoup d’autres sujets plus légers ont été abordés, récupérées des petites pépites de vie qui deviennent des scènes de référence. Inscrites dans un univers bien cadré, quelque peu empesé, elles favorisent justement des moments joyeux d'insoumission clandestine…
Un terrain extraordinaire pour jouer d'une dérision incontournable.
Gabrielle MONTCLAR
BONNE LECTURE
